De Molière à Lorenzaccio, découvre pourquoi le théâtre a plus de punchlines que le rap. Clashs, pouvoir, drames : c’est du lourd.
Tu penses que le théâtre c’est que pour les darons en veste en velours ? Oublie tout. Derrière les alexandrins et les rideaux rouges, y’a des punchlines qui feraient rougir Damso, des clashes qui tabassent plus qu’un freestyle et des personnages plus ambigus que ceux de Euphoria.
Pas d’instru, mais des clashs, des vannes et des règlements de compte. Le théâtre classique, c’était l’arène. Regarde "Le Cid" : c’est une guerre d’honneur, de flow et de répartie.
"Le crime fait la honte, et non pas l’échafaud" → Hugo t’envoie une claque morale en 10 mots. C’est du storytelling pur, un peu comme un album concept de Kendrick Lamar.
Un jeune type rongé par le doute, qui manipule tout le monde pour se venger d’un pouvoir corrompu. Ça te rappelle un film de gang ? C’est du théâtre pur.
Un soldat pauvre, humilié par les riches, qui craque. C’est brutal, social, et ça aurait sa place sur Netflix.
Des compagnies bossent avec des rappeurs, des danseurs hip-hop ou des slameurs. Le théâtre sort du théâtre. Et tant mieux.
Aujourd’hui, t’as des mises en scène où les persos portent du Nike, où le décor est en néon, et où les monologues sont balancés face caméra. C’est plus vivant que jamais.
Le théâtre, c’est pas élitiste, c’est dramatique. Et qui dit drame dit tension, codes, style. Comme dans le rap. Comme dans la vraie vie.
Abonne-toi à nos réseaux sociaux pour ne manquer aucune de nos actus
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Suspendisse varius enim in eros elementum tristique. Duis cursus, mi quis viverra ornare, eros dolor interdum nulla, ut commodo diam libero vitae erat. Aenean faucibus nibh et justo cursus id rutrum lorem imperdiet. Nunc ut sem vitae risus tristique posuere.